C’était mieux maintenant ! - Dialogue entre générations pour comprendre les médias
- 67 vues
« C’était mieux maintenant ! - Dialogue entre générations pour comprendre les médias » visait la rencontre intergénérationnelle entre de jeunes adolescent·es et des personnes de plus de 60 ans. Lors de cette rencontre, les participant·es étaient amené·es à partager leurs pratiques médiatiques, afin de les décrypter, mais aussi de déconstruire les préjugés, les idées reçues et les conceptions erronées associées aux deux générations.
Pour cela, Action Médias Jeunes a organisé des ateliers : un atelier de rencontre et un atelier de création médiatique. En amont de ces rencontres, un focus group a été mis en place avec nos partenaires namurois. Il s’agissait d’une étape importante dans la co-construction du projet pilote intergénérationnel. En effet, grâce à ce focus group, Action Médias Jeunes a pu recueillir les grandes thématiques et les enjeux au cœur de ces ateliers : la vidéo et le lien social, le son et les moments de la vie, la photographie et la mémoire et pour finir, l’écriture et l’évasion. La finalité était d’outiller et de sensibiliser les participant·es dans une perspective de développement d’une citoyenneté responsable et critique, de même que le développement d’une posture réflexive et critique sur leurs propres usages et représentations médiatiques. Au total, ce sont 4 lieux de rencontre qui ont été ciblés dans trois régions distinctes : Namur, Ciney, Anderlecht et Mouscron. Mais aussi, la participation de 73 personnes.
Grâce aux résultats des ateliers de créations médiatiques, le projet a abouti à la réalisation d'une exposition médiatique itinérante, tout d’abord au sein de la bibliothèque de l’Espace Carême à Anderlecht, suivi par le centre culturel Marius Staquet à Mouscron, pour finir par le quai 22 à Namur, mettant en valeur les rencontres intergénérationnelles et les pratiques des médias d'hier et d'aujourd'hui.
Présentation
L’activité
Phase 1 (Décembre 2022 – Janvier 2023) : Composition et rencontre du focus group sur Namur
Le focus group ayant permis de récolter les grandes thématiques et les enjeux au cœur du projet a eu lieu en janvier 2023 à Namur dans les locaux de nos partenaires.
Dès le départ lors du focus group, et ce également durant les rencontres-ateliers, les animateur·ices d’Action Médias Jeunes ont apporté une attention toute particulière au contexte d’animation pour permettre aux deux publics cibles de participer sans obstacle aux différentes activités.
Comme prétexte à la discussion, nous avons récolté une centaine d’objets médiatiques : joystick, machine à écrire, smartphone, agenda électronique, vinyle, webcam, manette SEGA, appareil photo argentique, etc. Posés sur la table où les participant·es étaient installé·es, ces objets ont été le fil conducteur de la rencontre et du dialogue. Au départ de ces objets, deux questions ont été posées aux participant·es : quel objet vous semble essentiel, aujourd’hui, dans votre vie ? Et sur quel objet avez-vous une question ?
Phase 2 (Février 2023) : Création par Action Médias Jeunes des outils brise-glace et des démarches d’animation pour les rencontres-ateliers
Grâce au focus group, les animateur·ices d’Action Médias Jeunes ont pu faire ressortir les grandes thématiques qui étaient au cœur des rencontres-ateliers. En effet, nous avons remarqué un intérêt pour quatre grands médias : la vidéo, la radio, mais plus précisément le son, la photographie et l’écriture. Ces derniers avaient de manière générale une fonction bien précise au cœur de pratiques et des usages médiatiques des participant·es. D’après eux·elles, l’appareil photo est le meilleur moyen pour « fixer et graver des souvenirs », le smartphone lui, mais aussi la caméra permettent d’obtenir des souvenirs animés ou de maintenir le lien social. Le son, lui aussi vecteur de souvenirs, était apprécié des participant·es pour les émotions dans lesquelles il permettait de se plonger. Et enfin, l’écriture et la lecture sont pour eux·elles comme un moyen de
« s’évader, de se raconter ».
Sur base de ces quatre constats, nous avons imaginé quatre fiches missions pour guider les participant·es dans leur création médiatique. Ces créations étant le support pour permettre un tissage de liens entre les générations. Par conséquent la méthodologie de ces fiches impliquait obligatoirement la formation d’un duo intergénérationnel.
En parallèle de ce travail pédagogique, un travail de graphisme a été nécessaire afin de créer une identité visuelle à « C’était mieux maintenant ! ».
Phase 3 (Mars – Août 2023) : Rencontres-ateliers entre les jeunes et les personnes de plus de 60 ans
Sur chacun des lieux, deux rencontres-ateliers ont été fixées avec nos partenaires.
La première rencontre avait comme objectif un partage d’expérience individuelle pour aboutir à la mise en place d’un récit collectif et sélectionner en groupe le ou les médias qui seraient créés dans chacune des régions. Pour débuter cette rencontre, Action Médias Jeunes a imaginé une activité brise-glace : la création d’une ligne du temps qui reprenait le prénom et l’année de naissance des participant·es. Notre objectif était, dès cette activité, d’introduire la thématique au centre de la rencontre : les médias. C’est pourquoi nous avons fait appel à l’outil pédagogique d’une collaboration d’acteurs de plusieurs horizons (Belgique, France et Italie) : la mallette conscience numérique durable. Dans le parcours 3 de cette mallette se trouve une série de cartes médiatiques (1er téléphone fixe, minitel, SMS, YouTube…). Chaque participant·e a reçu une carte et grâce à la discussion, et donc aux connaissances générationnelles, iels devaient ensemble définir la date de création/apparition du média ou de la pratique médiatique représentée sur leur carte. Dès l’unanimité sur une date, nous révélions cette dernière. Le·la participant·e était alors invité·e à se lever pour coller sur la ligne du temps sa carte et y indiquer également son prénom et son année de naissance. Puis, comme lors du focus group à Namur, iels ont pu découvrir les objets médiatiques que nous avions apportés autour cette fois d’une seule question : « Sur quel objet avez-vous une question ? ». Cet échange a permis de montrer que tout le monde avait des compétences et des connaissances qui leur sont propres. Ensuite, par duo intergénérationnel, les participant·es aidé·es d’un support d’écriture et d’une série de questions ont fait appel à leur mémoire puisqu’iels ont écrit puis enregistré leur plus vieux souvenir avec un média. À la fin de cette première rencontre, les 4 fiches missions ont été proposées pour la création de leurs supports médiatiques des expositions. Ainsi, grâce aux connaissances apprises et/ou à la découverte d’intérêt pour un nouveau média, chacune des régions a sélectionné deux créations médiatiques — écriture et son pour Namur et Mouscron, photographie et vidéo pour Ciney et Anderlecht.
La seconde rencontre a permis au groupe de développer les compétences techniques liées aux médias choisis (cités ci-dessus) afin de les mettre au service de la concrétisation de l’exposition. Lors de cette seconde rencontre, une nouvelle activité brise-glace a été réalisée : un bingo médiatique. En d’autres mots, d’abord individuellement les participant·es ont été invité·es à répondre à une série de questions : l’âge auquel j’ai eu mon premier GSM, une application dont je ne pourrais pas me passer, ma dernière lecture,… ensuite sur une musique iels devaient se déplacer dans la pièce et lorsque cette dernière se stoppait discuter avec la personne la plus proche afin de partager leurs réponses, et trouver un maximum de points communs pour crier “BINGO”. Très vite après cette première activité, les duos ou trios intergénérationnels se sont formés pour débuter leur création médiatique.
Pour chacun des groupes, la première phase a été celle de l’écriture. Pour la vidéo, à l’aide d’un photolangage, iels ont dû écrire les questions qu’iels allaient se poser. Pour le son, également à l’aide d’un photolangage, lister les sons, les bruits, les musiques,… qui ont bercé leur vie, pour ensuite écrire leur histoire autour de ces derniers. Pour la photographie et l’écriture, réaliser un story-board.
Cette phase importante d’écriture a également été mise en parallèle avec des points théoriques (le langage audiovisuel, story-board, valeurs de plans, points de vue,…) et techniques (utilisation d’un enregistreur, d’une tablette ou encore d’une caméra). Les deux ateliers ont été organisées au sein de quatre lieux (Namur, Ciney, Mouscron et Anderlecht) pour un total de sept rencontres.
Phase 4 (Juillet – Août 2023) : Post production des réalisations médiatiques et préparation de l’exposition
Une fois les ateliers terminés, et les productions médiatiques réalisées par les participant·es, l’équipe d’Action Médias Jeunes a réalisé un brainstorming pour réfléchir à la manière de mettre en valeur les productions. Suite à cela, une structure centrale a été construite pour y placer les objets récoltés par les animateur·ices d’Action Médias Jeunes, et qui ont inspiré les participant·es dans leur réalisation : photographie, vidéographie, écriture et sons. Ainsi, qu'un pupitre présent à l’entrée de l’exposition avec une affiche de présentation du projet, un livre d’or pour les visiteur·euses, mais aussi une tablette avec la newsletter.
L'équipe d’Action Médias Jeunes a démarré le travail de post-production qui a recouvert les tâches suivantes : montage audiovisuel des vidéos enregistrées, montage audio des bandes sons réalisées, impressions des bandes dessinées, création et impression des visuels de l’exposition. Mais aussi la création des panneaux d’explications des productions et d’explication du projet, la mise en forme de la ligne du temps reprenant l’ensemble des personnes ayant participé au projet et enfin l'élaboration d'une activité pour permettre aux visiteur·euses de laisser une trace de leur passage à l'exposition (post-it et livre d’or).
Phase 5 (Septembre-Novembre 2023) : Exposition médiatique itinérante et évaluation du projet
Les réalisations médiatiques des participant·es ont été affichées lors de l’exposition médiatique itinérante dans trois lieux du projet pilote : Anderlecht, Mouscron et Namur. L’exposition est restée pour une période de deux semaines, démarrant par l’organisation d’un vernissage ouvert au public, avec la présence des partenaires.
Lors du vernissage à Anderlecht, nous avons compté la présence d’une vingtaine de personnes, dont l’ensemble du groupe de jeunes ayant participé·es au projet, ainsi que d’autres jeunes de la MJ. Suite à cette collaboration, la coordinatrice de la MJ nous a contacté afin de valoriser le travail accompli durant leurs portes ouvertes.
À Mouscron, une trentaine de personnes se sont rendues au vernissage. Nos partenaires ont également tenu une permanence dans l’exposition le samedi matin. Nous avons également eu l’opportunité de réaliser une interview pour promouvoir le projet par Hainaut Séniors. Cette interview est disponible sur la page Facebook Hainaut Séniors News.
À Namur, une soixantaine de personnes ont été présentes au vernissage dont certain·es jeunes et personnes âgées. Les retours se sont avérés très positifs à la fois pour le public visiteur mais également de la part des participant·es.
Autant pour Anderlecht, Mouscron ou Namur, nous avons eu beaucoup de retours très positifs sur le travail accompli et sur le rendu de l’exposition. Le vernissage est le moment idéal pour accompagner durant la visite et ainsi pouvoir fournir les différentes explications. En effet, suite à plusieurs retours des personnes présentes, obtenir des explications supplémentaires et des anecdotes du projet est un réel avantage. C’est pourquoi sur Namur, l’équipe d’Action Médias Jeunes a décidé de réaliser une permanence au sein de l’exposition.
L’évaluation du projet s’est faite en plusieurs phases. Tout d’abord, une évaluation continue dès le début des rencontres, car les participant·es ont été amené·es à expliciter leurs propres usages et les représentations médiatiques qui y sont liées. Le contenu proposé lors des rencontres-ateliers a donc été adapté. Ensuite, une évaluation des participant·es a été réalisée en amont de l’exposition par le biais d’un envoi de carte postale d’évaluation. En effet, ces derniers ont reçu à la fin de l’atelier 2 une carte postale prétimbrée avec l’adresse d’Action Médias Jeunes. Il leur a été demandé, afin de rester dans l’esprit du projet, de nous faire un retour sur le projet vécu.
De plus, nous avons également mené une évaluation informelle avec les participant·es lors de leur visite de l’exposition. Les vernissages ont été un moment de retrouvailles ayant permis d’obtenir l’avis et le ressenti des participant·es. Ces dernier·es étaient très content·es du résultat. Enfin, un livre d’or a été mis à disposition des visiteur·euses. En voici le contenu : https://issuu.com/acmjasbl/docs/livre_d_or_cmm_2
Au terme de ce projet, les ressources numériques ayant permis sa réalisation sont hébergées sur notre site internet afin de permettre une transmission aux autres secteurs : https://www.actionmediasjeunes.be/expertises/cmm/
Enfin, la transmission du projet pourra se poursuivre à Namur. En effet, lors de la présence de l’exposition dans nos locaux, nous avons à l’heure actuelle trois créneaux horaires de fixés avec des classes de 3ème et 5ème secondaire pour venir visiter l’exposition.
Les trois compétences/objectifs d’éducation aux médias initialement prévus par l’équipe d’Action Médias Jeunes ont été poursuivis. Pour rappel, nous avions opté pour un projet de créations médiatiques qui a permis de développer principalement les compétences à la lecture et à l’écriture, mais aussi en navigation.
La lecture, compétence principalement développée lors du premier atelier.
Grâce aux objets médiatiques rassemblés pour l’atelier, l’objectif, de confronter les représentations et les sensibilités véhiculées concernant les médias et leur perception du monde, a pu être atteint. En effet, en posant les questions suivantes, quel objet vous semble essentiel, aujourd’hui, dans votre vie ? Et sur quel objet avez-vous une question ?, l'échange des connaissances de chacun·e leur a permis de prendre conscience de la diversité des pratiques médiatiques, et par conséquent de les décrypter et d’en comprendre les codes. Ancien·nes et plus jeunes ont eu l’opportunité de découvrir de nouvelles manières de produire ou de diffuser un message et d’en apprendre les signes et le langage. En développant leurs compétences informationnelles et techniques, iels ont appris à se questionner sur la réception d’un message médiatique. Ce questionnement est le fil conducteur du deuxième atelier, ayant principalement développé la compétence en écriture.
L’écriture, compétence développée par la création de l’exposition multimédiatique itinérante.
L’atelier 2 avait pour objectif la réalisation d’un contenu médiatique pour l’exposition. Durant cette phase, les participant·es ont dû se questionner sur l’intention de leur message et écrire un contenu porteur de sens. Qu’est-ce que vous souhaitez faire passer comme message ? Quelle histoire voulez vous raconter ? À qui s’adresse votre message ?
Une fois cette étape passée, il a été nécessaire de montrer les spécificités techniques des médias utilisés, autrement dit : caméra, tablette, et enregistreur. Notre objectif n’était pas d’en faire des expert·es, mais de leur permettre une certaine maîtrise avec l’appareil médiatique choisi.
Enfin, la compétence en navigation notamment sociale dans l’élaboration d’un message commun au sein de leurs productions médiatiques.
Le projet pilote a démarré à Namur avec le focus group au sein des locaux de notre partenaire séniors. Il s'agit d'un asbl destinée à des personnes de plus de 55 ans de la province de Namur. Dans une perspective de partage des réalités quotidiennes de nos publics, nous avons souhaité organiser par la suite les deux ateliers (rencontre et créations médiatiques) au sein des locaux de notre second partenaire, une maison de jeunes.
À Mouscron, les ateliers se sont déroulés au sein de la maison de jeunes. Cet espace était le lieu idéal pour ces rencontres, car plusieurs pièces étaient accessibles.
À Anderlecht, l’équipe d’Action Médias Jeunes a pu animer au sein d'une bibliothèque. Une grande salle était prévue. Comme à Mouscron et à Namur, nous avons pu avoir accès à une autre salle, et à l’extérieur pour les créations médiatiques.
Enfin, nous avons contacté une Maison des Jeunes à Ciney. Parallèlement, nous avons démarché une résidence qui a accepté de nous accueillir lors des deux ateliers de réflexion et création médiatiques. C’est ainsi que les jeunes de la MJ ont rencontré une petite dizaine de résident·es et ont pu participé activement au projet.
La réflexion sur les publics du projet était au cœur de celui-ci, et ceci dès la conception. En effet, la rencontre et le dialogue entre générations devaient venir renforcer l’apprentissage des compétences médiatiques, et inversement. 73 personnes ont été touchées par le projet sans compter les personnes touchées par les expositions : 20 personnes âgées de plus de 60 ans, 37 jeunes, mais aussi 16 animateur·ices/accompagnant·es.
L’équipe d’Action Médias Jeunes a réfléchi à deux générations qui avaient moins l’occasion de se rencontrer et de discuter au quotidien. D’un côté, des adolescent·es entre 13 et 21 ans, à l’exception d’une jeune à besoins spécifiques âgées de 32 ans, et de l’autre des ancien·es de 60 ans et plus. L’hypothèse derrière ce choix était que les grands-parents des adolescent·es d’aujourd’hui devaient avoir 60 ans ou moins, et donc que ces jeunes ne côtoyaient pas de personnes plus âgées, dont certaines avaient, par exemple, connu un monde sans télévision, ou sans ordinateur. Certain·es étaient même enfant durant la Deuxième Guerre mondiale. Cela a permis d’enrichir les discussions entre générations.
En plus d’avoir une expérience de vie très riche, les ancien·es avaient de fortes attentes d’échange et de partage avec les plus jeunes. Parfois déjà engagé·es dans des asbl ou la vie de leur quartier, ces séniors actif·ves avaient à cœur d’écouter les jeunes et de les aider à mieux comprendre l’évolution des pratiques médiatiques. Parfois aussi, iels étaient simplement content·es de pouvoir discuter avec d’autres personnes que leur propre famille ou le personnel des structures d’accueil dans lesquelles certain·es étaient accueilli·es.
Notons que, pour Action Médias Jeunes, ce projet a été une chance rare et précieuse de travailler avec un public qui s’écarte de son public habituel.
Les jeunes, quant à elleux, sont toujours au centre des activités de l’asbl. L’équipe d’Action Médias Jeunes est habituée à collaborer avec des structures jeunesse. Cette fois, ce sont les Maisons de Jeunes qui ont été choisies. En effet, ce type de projet intergénérationnel répond particulièrement bien à leur objectif de rencontre et de décloisonnement des publics. Les jeunes fréquentant les MJ sont particulièrement intéressé·es par des activités susceptibles de leur faire découvrir d’autres horizons. Les jeunes participant·es à ce projet ont montré une motivation particulière à l’idée de rencontrer des personnes plus âgées, mais aussi lors des échanges autour des pratiques médiatiques.
L’éducation aux médias
- Outils
Ayant comme objectif de fournir les outils transmissibles à d’autres opérateur·ices culturel·les, Action Médias Jeunes met à disposition gratuitement sur le site internet les 4 fiches mission ayant permis aux participant·es une rencontre intergénérationnelle et de la création de médias. En complément de ces quatre fiches, les activités brises-glaces, les photolangages utilisés, un tutoriel de l’application Comica pour créer une bande dessinée, et des modèles de story-board.
Plus d’informations via : https://www.actionmediasjeunes.be/expertises/cmm/
Médias
Nous pouvons au total compter 38 pistes audio, 8 vidéos, 4 bandes dessinées et 3 créations photographiques au sein de l’exposition médiatique itinérante. Un aperçu de quelques-unes des ces productions est disponible dans l'onglet "Les médias". Afin d’en découvrir davantage, n'hésitez pas à contacter l'équipe d'Action Médias Jeunes.
Et enfin, une newsletter présentant le projet est disponible sur nos réseaux (Facebook, Instagram et YouTube) et notre site internet.
Les Média
Audio et Vie - Musiques, sons, bruits, ambiances sonores ... ont bercé notre vie. « La bande son de ma vie » est le nom de cette production sonore. Les participant·es ont fait appel à leur mémoire auditive pour partager avec vous un moment de leur vie passée.
Audio et Vie - Musiques, sons, bruits, ambiances sonores ... ont bercé notre vie. « La bande son de ma vie » est le nom de cette production sonore. Les participant·es ont fait appel à leur mémoire auditive pour partager avec vous un moment de leur vie passée.
Vidéo et lien social - « Tu préfères ? » est une série d'interviews au format vidéo imaginées et enregistrées par les participant·es au projet.
Photographie et mémoire - Si, là maintenant, nous vous demandions de partager un souvenir autour d'un média. À quoi pensez-vous ?
Sur cette production, nous pouvons observer l'évolution à travers le temps de l'audiovisuel.
Écriture et évasion - « L'évasion au travers des médias ».
Écriture et évasion - « L'évasion au travers des médias ».